Les parties communes, comme les autres parties privées d’une copropriété nécessitent autant un bon entretien. Tout en sachant que ces zones sont souvent très utilisées par chaque copropriétaire, il est de ce fait important qu’elles soient bien entretenues pour éviter toute dégradation mais aussi pour garder une belle image de l’immeuble. La question qui se pose le plus souvent dans cet entretien est comment se partager les tâches. Comment faire pour bien les réussir ?

Définissez les zones communes

Pour bien partager les tâches, il est important  de définir les zones concernées. Celles-ci dépendent de l’immeuble. On peut citer le hall d’entrée, les couloirs, les escaliers, les parkings et la partie réservée à la poubelle, ... Ces parties doivent être entretenues en détails, ce qui inclut le dépoussiérage et balayage du sol (les carreaux, les tapis, les moquettes, …), le nettoyage des vitres, des façades, des rampes d’escaliers, …
Le nettoyage des espaces verts, etc. Chaque détail doit être pris en compte.

Prestataire ou non : Quelle solution est la plus adaptée ?

Une solution commune souvent adoptée est l’appel à un prestataire professionnel pour réaliser les différentes tâches communes avec service clé en main. Ceci implique toutefois une charge financière en plus pour chaque copropriétaire, mais également un service assuré. Un contrat doit être signé entre les parties concernées à ce moment-là pour fixer les tâches à effectuer. Cette option est très pratique pour les immeubles avec beaucoup de copropriétés.
En ce qui concerne l’entretien des immeubles avec moins de lots, il est possible de faire une entente entre chaque copropriétaire pour réaliser  chacun les tâches comme il faut, par tour ou en assurant la partie à son niveau.

Une autre solution pour les petits lots est de solliciter l’aide d’une personne, salariée mais pas forcément professionnelle, comme le gardien ou une personne externe.

Fréquence d’entretien des parties communes

Le nombre de nettoyage mensuel dépend de plusieurs critères auxquels il faut tenir compte. On peut citer parmi ces facteurs importants : la taille de la copropriété et de la partie commune, le nombre de personnes habitant l’immeuble, le nombre de vitres, l’existence d’une activité commerciale ou autre dans l’immeuble, … Ce sont les principaux critères mais des points restent variables en fonction de la copropriété. Par exemple, pour une petite copropriété sans activité et avec peu de colocataires, l’entretien des zones communes peut se faire une fois par semaine. En revanche, pour un grand immeuble, le nettoyage peut même avoir une fréquence journalière.